Et si votre cerveau était le siège de la QVT ?
Les sciences du cerveau et du comportement sont-elles susceptibles de faire progresser la qualité de vie au travail (QVT)? Sans aucun doute, selon Jean-Louis Prata, cofondateur de l’Institut de Neurocognitivisme, à suivre sur myhappyjob.fr ou en synthèse sur Mieux le Mag.
Conditions de travail mises à part, la qualité de vie au travail est subjective pour chaque collaborateur. En s’intéressant à notre cerveau, aux frontières des sciences du comportement et des thérapies cognitives, l’Approche Neurocognitive et Comportementale (ANC) constitue une piste intéressante pour faire progresser la QVT autour de 5 thématiques bien identifiées :
– La motivation. L’ANC permet de s’assurer, dès le recrutement d’un collaborateur, de l’adéquation entre ses motivations primaires, celles qui lui procurent du plaisir quel que soit le contexte, et la fiche de poste.
– Les relations interpersonnelles. Différentes techniques ont été mises au point par l’ANC pour adapter sa communication et/ou son attitude à l’état de stress de l’autre, contribuant ainsi à apaiser le climat général.
– Le fonctionnement des organisations. Par ses méthodes, l’ANC veille à aligner, à tous les niveaux de l’entreprise, les responsabilités que portent les personnes et les moyens dont elles disposent pour les assumer.
– La prévention du burn-out. L’ANC facilite le développement de l’estime de soi chez les individus, dont la carence provoque un surinvestissement émotionnel à l’origine du burn-out.
– La prise de recul. En misant sur nos capacités d’adaptation, l’ANC propose des méthodes pour vivre plus sereinement les tensions ou difficultés inévitables dans la vie professionnelle.
Passionnés de neurosciences et de sciences du comportement, consultez l’intégralité de l’article sur myhappyjob.fr !