Baromètre incentive externe Sodexo : les résultats 2018

Chaque année, Sodexo s’interroge sur l’impact des programmes d’incentive externe en entreprise. Voici les principaux résultats du baromètre sur l’incentive externe, édition 2018.
Premier constat : les canaux de distribution externes demeurent un véritable atout pour les entreprises, dont 31 % du CA en moyenne proviennent de leur apport. Et pour mettre toutes les chances de leur côté dans la commercialisation de leurs produits ou services, elles n’hésitent pas à démultiplier les canaux. Elles sont ainsi 88 % dans ce cas, dont la majorité (60 %) utilisent d’ailleurs au moins cinq canaux ! Les réseaux de distributeurs restent leur principal partenaire commercial, suivi des détaillants et représentants commerciaux.
96 % des entreprises toujours prêtes à investir dans l’incentive externe
Il apparaît que 32 % des entreprises interrogées optent pour des opérations d’incentive externe afin de booster toujours plus leur croissance. Mieux, elles sont 96 % à vouloir continuer d’investir dans de tels programmes. Les chèques-cadeaux demeurent incontestablement la dotation la plus communément remise (50 % des entreprises), suivis de près par les cartes-cadeaux (42 % des entreprises).
« Incentiver » pour atteindre ses objectifs !
Dans leur très grande majorité, les entreprises sont désireuses de poursuivre leurs opérations d’incentive. Elles considèrent qu’il s’agit d’un excellent levier pour fidéliser leur réseau, augmenter les ventes et conquérir leurs clients. De quoi convaincre celles qui se montreraient réticentes. En effet, 68 % des structures recourant à des canaux externes ne proposent pas ce type de programme. Celles qui, au contraire, ont choisi l’incentive externe l’affirment : ces opérations leur permettent d’atteindre leurs objectifs prioritaires.
D’où l’importance de l’accompagnement ?
Les incentives prennent alors tout leur sens ! Et si, pour les entreprises qui appréhendent mal ces programmes, considérant qu’ils ne sont pas utiles pour leurs produits et/ou que la législation inhérente est trop complexe (33 % des interrogés), la solution résidait dans l’accompagnement ?