La génération Y si difficile à manager que ça ?
Nous avons relayé ici plusieurs actualités sur le thème de la génération Y, de leur refus des codes traditionnels, de leur relation avec le monde du travail, etc. Une génération talentueuse qui apporte son lot de mutations technologiques et managériales dans l‘entreprise comprises et acceptées (ou pas). Aujourd’hui, découvrons ensemble un article à contre courant paru sur Social Advisor.
Cet article ne s’interroge pas sur les raisons qui laissent penser que cette génération s’accommode d’une réputation de rebelle qui ne supporte pas la hiérarchie (sans doute à cause d’un raccourci entre l’arrivée de l’entreprise libérée coïncidant avec celle des actifs de cette génération). Au contraire, il s’attelle à démontrer, étude à l’appui, que nombreux (78 %) sont ceux qui pensent que leur relation de travail avec leur supérieur est « extrêmement efficace ».
Rejeter l’autorité au sens « traditionnel » du terme ne signifie pas rejeter l’idée de hiérarchie
On apprend ainsi grâce à cette analyse très intéressante que les modèles de management existants ne remportent pas de francs succès auprès de cette génération qui attend d’un manager qu’il les fasse progresser, qu’il sache motiver et qu’il respecte ses collaborateurs, qu’il sache donner du sens au travail, susciter l’engagement et l’équilibre. Être manager oui, mais pas en se reposant sur le sens du devoir, plutôt sur celui de l’adhésion.
À découvrir sur Social Advisor.