Êtes-vous fait pour la Gig Economy ?
Le travail en freelance ou en indépendant en fait rêver plus d’un : flexibilité des horaires de travail, absence de hiérarchie directe ou encore, travail à domicile… Un modèle qui séduit surtout les pays libéraux à l’heure d’une ubérisation grandissante, appelée aussi de manière générale la « Gig Economy ».
Pour les non anglophones, on vous aide : Gig signifie « concert » en anglais. Un terme qui fait donc référence aux fameux cachets des musiciens et rappelle ainsi un modèle économique qui favorise la rémunération à la prestation. Un système qui s’est finalement étendu à d’autres corps de métiers, comme pour les chauffeurs particuliers (VTC), par exemple.
Un cadre de travail, bien loin du monde traditionnel de l’entreprise et qui, aujourd’hui, séduit. Une tendance confirmée par la dernière étude d’ADP, The Workforce View in Europe in 2017 : 80 % des 16-34 ans déclarent être intéressés par le travail en indépendant, et près de 40 % « envisagent sérieusement de suivre le mouvement », rapporte RH Info. Mais la Gig Economy a aussi ses parts d’ombres : si elle apporte a priori plus de liberté, elle est aussi synonyme de précarité. Absence de congés payés ou d’indemnités maladie, instabilités des commandes, baisse des garanties juridiques… Autant d’inconvénients qui imposent une bonne réflexion avant de se lancer !
Et vous, êtes-vous prêt pour la Gig Economy ? Pour le savoir, retrouvez l’article de RH Info.