9 dirigeants sur 10 sont intéressés par la fonction de CHO
Sur 100 dirigeants de PME interrogés, seuls 72 on déjà entendu parler de la fonction de chief happiness officer (CHO) mais 89 pensent que le principe est intéressant voire important.
Ces chiffres sont tirés d'une petite étude menée par la CHO Séverine Daniel, en collaboration avec la start-up Zest spécialisée dans l'engagement et le bonheur des salariés.
Selon ces mêmes dirigeants, le bonheur au travail des salariés passe par – dans l'ordre – un bon management, un bonne ambiance de travail puis une bonne communication interne. Malgré leur intérêt pour ce nouveau métier, seuls 59 % pensent qu'un(e) CHO permettrait d'améliorer la performance de l'entreprise.
Moyennement convaincus ou manque de moyen ? Séverine Daniel met en garde contre l'image relayée dans les médias du CHO chargé des petits déjeuners et des fêtes de bureau qu'elle désigne comme « une caricature ». Selon elle,
La Direction, si elle engage un CHO, doit avoir une réelle volonté d’améliorer le bien-vivre collectif et décider de commencer par un travail de fond. Le CHO est avant tout un facilitateur de relations humaines.